La Chine, Hong-Kong inclus, compte près de 20 % de la population mondiale. Première puissance économique mondiale selon le FMI, la Chine est devenue l’une des destinations professionnelles les plus prisées. Sa dynamique commerciale est attractive. Mais les entreprises se heurtent à une première difficulté : la langue, le mandarin, réputée difficile. Elle se double d’une culture éloignée des codes occidentaux, aussi attractive que complexe pour l’entrepreneur néophyte. Pour réussir en Chine, mieux vaut ne pas faire l’impasse sur la traduction juridique de ses documents d’entreprise.
Le contexte commercial
Le marché chinois jouit d’un fort potentiel. Ouvrir une filiale en Chine, vendre ses produits en magasin ou en e-commerce, conclure un partenariat avec une entreprise chinoise, importer des produits pour la revente, exporter… fait l’objet d’un contexte commercial bien particulier.
Le catalogue des investissements étrangers propose une liste des activités encouragées par les autorités chinoises. On y trouve notamment ledéveloppement et la réalisation d’objets connectés, la conception industrielle, le textile ou encore le design d’architecture…
Si les marques françaises s’exportent très bien (mode, vin et spiritueux, cosmétiques), il faut savoir que les Chinois sont des consommateurs aux multiples facettes . Leurs attentes et leurs comportements sont multiples, à l’image des 56 ethnies qui y vivent et oscillent entre une modernité de pointe et un ancrage très fort dans les traditions.
Partenariat franco-chinois : la barrière de la langue
Les projets de commerce avec la Chine sont devenus incontournables et toutes les grandes marques ou presque se sont emparés de ce nouvel eldorado. Les consommateurs chinois aiment les marques occidentales et pas seulement dans le secteur, particulièrement plébiscité, du luxe. Cela représente un défi de taille : savoir s’adapter au consommateur et prendre en considération sa culture et ses valeurs.
Or, on le sait, traiter avec un homologue de l’union européenne est plus aisée que de traiter avec un homologue géographiquement et, culturellement, plus éloigné. Pour viser le consensus, il faut adapter non seulement son langage mais aussi ses codes à ceux du pays et de son secteur professionnel… Pour réussir en Chine, pour mieux appréhender et investir le marché, pour bien commercer, mieux répondre aux spécificités culturelles, connaître la réglementation en vigueur, etc., on comprend aisément l’importance de « parler la même langue ». Et si prendre quelques cours de mandarin est une bonne chose, cela ne suffira pas.
La traduction assermentée des documents sur lesquels vos partenariats vont reposer constitue une protection de vos intérêts :
- des termes traduits fidèlement,
- un conseil avisé apporté par le traducteur expert,
- une valeur officiel, juridiquement reconnue, du document ainsi traduit.
L’importance d’une bonne traduction
Puissance économique incontournable, la Chine ne possède pas la langue la plus aisée à apprendre. Elle se propage néanmoins à travers la planète, diffusant la culture chinoise dont on est de plus en plus accoutumé. Même si le mandarin est devenu une langue des affaires très utilisée dans les relations d’entreprises, sa maîtrise est loin d’être évidente.
La traduction de documents commerciaux ou marketing, et pourquoi pas d’un site internet, représentent pourtant un enjeu majeur : c’est la clé permettant de toucher les consommateurs chinois. Une bonne traduction représente, par un gage de qualité, une certaine légitimité à votre entreprise, tout en garantissant une importante visibilité.
Les défis de la traduction vers le chinois
La traduction en chinois est devenue aussi incontournable que l’une des plus complexes. La Chine comprend de nombreux dialectes, répartis selon ses régions, les deux plus connus étant le mandarin et le cantonais. La traduction vers le chinois, de par la diversité culturelle du pays, requiert une connaissance pointue des coutumes locales. La traduction de cette langue idéographique (il est question de caractères représentant des concepts et non des sons) relève de la subtilité !
Cela nécessite de confier vos documents à des traducteurs experts, ayant une parfaite maîtrise de la langue, de sa technicité jusqu’à ses codes culturels implicites. Les traducteurs juridiques traduisent dans leur langue maternelle, avec précision et respect de l’intention du texte d’origine. Ils sont également capables de s’adapter au marché ciblé. Une bonne traduction bilatérale des documents (contrats, papiers juridiques, statuts et cie) nécessite en effet une connaissance des terminologies mais aussi de la législation en Chine. Au delà de la traduction, le traducteur expert adapte votre documentation à sa cible.
La traduction certifiée
Les documents internationaux nécessitent souvent de faire réaliser une traduction certifiée (ouverture d’une filiale, opération à l’étranger, etc.), dont la procédure permet d’apposer un cachet qui atteste la conformité de la traduction avec l’original.
La traduction certifiée, appelée aussi « traduction assermentée » ou « traduction jurée » est réalisée par un traducteur expert ayant prêté serment devant une Cour d’Appel, appelé « traducteur assermenté ». Le processus de traduction certifiée prend du temps.
La traduction certifiée de vos contrats commerciaux, conditions générales de vente, contrats de confidentialité ou de partenariats… assure la bonne compréhension de tous les termes de vos relations commerciales avec la Chine. C’est un moyen d’éviter des écueils liés à une traduction approximative ou sans valeur juridique.
La traduction assermentée conserve ainsi la valeur officielle du document d’origine et garantit la plus stricte fidélité aux termes source.
KFC : une rigoureuse étude de marché
KFC détient sa réussite grâce à un effort considérable d’adaptabilité. La chaîne de restauration a tout misé sur l’intégration aux coutumes et aux codes locaux pour s’implanter durablement sur le marché chinois.
L’enseigne doit ainsi sa réussite à sa capacité à répondre aux attentes différentes du consommateur chinois. Les menus ont ainsi été adaptés en fonction des régions. Au final, son succès est sans appel, avec plus de 5000 restaurants répartis dans plus de mille villes.
Les recettes de la célèbre enseigne sont à l’image de la traduction : traduire, ce n’est pas simplement faire du mot-à-mot mais adapter son langage à une autre culture. Appréhender toutes les spécificités des consommateurs locaux passe aussi, et avec une attention plus particulière peut-être, par une traduction qui « parle » à sa cible.
Pour adapter vos contenus au contexte local, votre agence de traduction vous apporte conseil et expertise grâce à ses traducteurs natifs et à sa maîtrise des références culturelles internationales. Demandez conseil
Le mandarin est l’une des langues les plus utilisées à travers le monde. Parlé en Chine, à Singapour et Taïwan, il connaît de plus en plus de locuteurs. En cause, le fait que la Chine soit désormais une puissance économique incontournable de la mondialisation. Avec 1,4 milliard d’habitants, le pays représente bien l’un des plus importants marché au monde. De par ses perspectives d’avenir, le chinois est donc très attractif mais il est également réputé difficile ! Savoir s’adresser à ce public est de fait un défi, de par la difficulté majeure que représente la barrière de la langue. Comment interpeller les consommateurs chinois sans rater sa cible ? Pour assurer sa réussite sur le marché chinois et éviter des écueils administratifs, une bonne traduction juridique des documents administratifs et commerciaux ayant valeur légal permet de se prémunir de nombreux écueils.